Vitamine K, derniers conseils

Accueil > Vitamines > Vitamine K > Vitamine K, derniers conseils



Vitamine K, derniers conseils


Dans certains cas, il est important de surveiller les apports en vitamine K, car les besoins du corps sont augmentés. Il faut alors faire attention à l’alimentation pour ne pas risquer des carences.





Ci-après les derniers conseils pour clore ce dossier sur la vitamine K.

Surveillance du taux de vitamine K :



Les besoins sont accrus dans les cas suivants ;



– Chez les nouveaux-nés et surtout chez les prématurés.



– Chez les nourrissons nourris au sein.



– Chez la femme enceinte ou allaitant : des quantités suffisantes sont nécessaires pendant ces deux périodes, mais il faut éviter cependant des doses excessives



– Lors de certaines affections qui diminuent l’absorption des graisses et par conséquent peuvent augmenter les besoins en vitamine K : la diarrhée et les maladies intestinales chroniques (comme la maladie de Crohn), une maladie coeliaque ou une résection chirurgicale de l’estomac ou de l’intestin.



– Lors de traitements antibiotiques prolongés qui finissent par détruire la flore intestinale à l’origine de la synthèse de la vitamine K2.



– Chez les personnes âgées.



– Chez les alcooliques chroniques.



– Lors de traitements prolongés à base d’aspirine ou d’anticoagulants oraux, prescrits pour prévenir la maladie thromboembolique.



– Chez les personnes prenant des laxatifs ou des huiles minérales telle que l’huile de paraffine sur de longues périodes.



– En cas de nutrition exclusivement parentérale, non supplémentée.



Attention, certaines personnes sont hypersensibles, voire allergiques à la vitamine K.

Vitamine K : derniers conseils :



– Lorsque le médecin prescrit un traitement à base de vitamine K, il s’agit en fait de vitamine K1, qui est la forme la plus utilisée.



– La vitamine K3, d’origine synthétique, peut être toxique au niveau hépatique à forte dose, surtout chez le nouveau-né. C’est la raison pour laquelle elle est maintenant interdite en Amérique du Nord.



– Dans les cas d’insuffisance en enzyme glucose-6-phosphate déshydrogénase, il est préférable de ne pas prendre de suppléments en vitamine K.