La vitamine D est parfois utilisée en usage médical, pour traiter le rachitisme et ralentir l’ostéoporose, mais aussi en prévention du cancer de la prostate ou du diabète.
Dans certains cas, la vitamine D peut être prescrite par un médecin pour traiter ou prévenir différentes maladies.
– Prophylaxie (prévention) de la carence en vitamine D systématique :
– chez le nouveau-né et le nourrisson.
– chez la femme enceinte au cours du dernier trimestre de grossesse.
– chez la femme allaitant à la fin de l’hiver et au printemps.
– chez les personnes âgées ou confinées.
– éventuellement chez l’enfant ou l’adolescent dont l’exposition solaire est insuffisante ou dont la pigmentation cutanée est élevée, et qui a un régime alimentaire déséquilibré, qui est sous traitement médicamenteux (anti-convulsivants, corticoïdes au long cours) ou qui souffre d’une pathologie digestive (malabsorptions intestinales ou mucoviscidose) ou d’une insuffisance hépatique.
– Traitement de la carence en vitamine D : le rachitisme, l’ostéomalacie, l’hypocalcémie néonatale, la maladie de Crohn.
– Troubles de l’ossification, retard de croissance et problèmes de caries dentaires.
– Prévention et ralentissement de l’ostéoporose (en association avec du calcium) en particulier chez les personnes de plus de 50 ans et chez les femmes post-ménopausées.
– Consolidation des fractures.
– Effet protecteur contre certains cancers, notamment celui de la prostate, du colon et du sein, en inhibant la croissance des cellules malignes.
– Prévention de maladies auto-immunes telles que le diabète de type I, l’arthrite rhumatoïde, les maladies inflammatoires digestives et la sclérose en plaques, grâce à une supplémentation en vitamine D durant la période de croissance.